LaFouine a écrit :Quand tu auras la mise en service, ça m'intéressera de savoir si avec le suivi de production ENEDIS tu constates aussi du surplus non négligeable alors que c'est bridé à 0..
Je ne suis pas très au point avec les relevés enedis mais je vais essayer de regarder.
En tout cas la centrale dtu me dit 420wh avec une journée en zéro injection. ( je suis en vacances et donc très peu de conso qui perturbe)
Oui mais 420w de surplus cette info est insuffisante car le total d'injection dépend de beaucoup de facteurs (ex: capacité à produire, ta consommation).
Ce n'est pas la quantité qui m'importe
Une fois producteur tu auras accès à l'historique de ton surplus par pas de 30min, ce qui m'intéressera c'est de savoir si selon les jours il t'arrive de voir des pics de surplus qui sortent du lot.
Je ne met pas de capture d'un jour où ça a déconné car je ne suis plus trop sûr de mes actions ces jours-là mais voici un jour où rien d'anormal.. bridage à 0 à partir de 10h (oublié de débrider).
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Bridage.jpg
Ok je te dirais ça lorsque je serai producteur validé par Enedis.
Ensuite si tu veux plus de details on pourra se contacter via un autre canal ce sera plus simple et cela n'embousera ce post
Auto-installation 4200Wc : 10 PV de 420wc / 5MO HMS 8002T/ DTU Pro S + DDSU666.
Routeur Arsun 1 voie
Jackpot63430 a écrit : ↑22 sept. 2024 15:17
Ok je te dirais ça lorsque je serai producteur validé par Enedis.
Ensuite si tu veux plus de details on pourra se contacter via un autre canal ce sera plus simple et cela n'embousera ce post
Nickel, ça marche
6720 Wc : 14x480Wc bi-faces (pergola EST 10, sol SUD 4) / 4 MO HMS / DTU Pro S + DDSU666
Vente surplus 3erl
Le bridage à zéro, c'est un algorithme d'optimisation qui s'en occupe, ça ne peut pas être parfait.
La principale variable sera le temps de réaction du système. L'algorithme regarde en continu le courant qui passe par la pince CT au niveau du Linky et essaye de ramener ce courant au plus proche de zéro. Soit le courant est positif (import) et l'algorithme augmente la production, soit le courant est négatif (export) et l'algorithme diminue la production.
En général il y a un paramètre de temporisation, qui prends en compte la moyenne du courant sur quelques secondes ou minutes, afin de stabiliser le système et d'éviter les effets yoyo. Et aussi un paramètre de "vitesse de réaction", par exemple une courbe d'augmentation ou de diminution de la puissance en W/secondes ou W/minutes. Cela participe de la même manière à éviter les yoyos.
Comme c'est un système purement "réactif", au sens où il réagit à une mesure, il a toujours un temps de retard. Donc si on mesure sa performance en termes d'énergie injectée (optimal = 0Wh), l'algorithme fera moins d'erreurs pour une consommation stable, et plus d'erreurs en cas de pics, ou de changements soudains de consommation.
Par exemple dans le cas de cet algorithme (fictif, mais probablement représentatif pour l'exemple), si tu paramètres une temporisation de 2minutes et une courbe de montée/descente en puissance de 1000W/minute. Imaginons que la production n'est pas limitante, et qu'une charge se met en route (e.g. un chauffe eau de 3000W).
Il faut 2 min au système pour réagir, puis 3min pour monter en puissance, énergie tirée sur le réseau : 2min x 3000W + 1min x (2000W + 500W) + 1min x (1000W + 500W) + 1min x 500W = 10500Wminute = 175Wh consommé sur le réseau. Les pas de 500W représentent la courbe de montée en puissance progressive, au début de la minute on part de zéro, à la fin on arrive à 1000W de plus, au total on a une moyenne de 1000W / 2 = 500W.
Et bien quand la charge s'arrête il se passe pareil dans l'autre sens et l'installation injecte 175Wh sur le réseau.
Du coup avec le zéro injection il faut éviter les changements brusques, si possible, pour limiter l'injection au minimum. Ou sinon il faut pouvoir ajuster les paramètres de l'algorithme pour être aussi fin que possible tout en limitant les effets yoyos.
Après, chaque système aura ses limitations propres, avec par exemple le temps de réaction de l'onduleur pour moduler la puissance des panneaux (incompressible), ou l'exposition de certains paramètres aux utilisateurs.
Le "talon d'injection" permet de limiter les imports, mais entraînent une injection constante, évidemment. Pour 150W, cela représente 150Wh injectés par heure de production avec surplus, soit jusqu'à 1,5kWh environ en été pour 10h de production, dont probablement 600-800Wh sur des tranches horaires à PRE négatif.
Pour bien faire il faudrait comparer le tarif PRE au tarif d'achat sur le réseau, pour établir s'il est plus intéressant d'injecter un peu ou de tirer un peu plus sur le réseau. À 25cts/kWh il faudrait un PRE inférieur à -250€/Mwh pour préférer tirer sur le réseau plutôt que d'injecter.
Mon installation 8,925kWc avec comparaison panneaux biverre / bifacial
21 x Trina Solar Vertex S+ 425Wc
21x Enphase IQ8MC
Bonsoir,
Excusez moi du retard, mais je lis depuis le départ, donc un peu à la bourre
tu mets en place le profil avec bridage et tu mets le tore de mesure de l'injection sur un relais : besoin de bridage = relais fermé, sinon relais ouvert.
Tu peux laisser res tores enphase et rajouter des tores zigbee si t'as une domotique : https://www.domadoo.fr/fr/peripheriques ... -tuya.html
J'en ai commandé un avec 3 tores , pour suivre conso de ma clim, plaques , four. Donc on pourrait envisagé d'en affecté un pour l'injection avec un shelly pour le contact sec.
Actuellement en test, je gère le "surplus" en ayant des scénarios ( jeedom) pour démarrer mes clims en fonction de l'export.